Wednesday, May 1, 2024

Histoire uchronique n°XXI : une lecture alternative et anecdotique de la Révolution Française !

par Jean-Jacques COURTEY, Docteur en Géographie Economique, Ph. D

traduit et adapté de l'anglais par lui-même

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Voici la traduction et l'adaptation en français de notre article intitulé "Uchronic history : an alternative and anecdotal reading of the French Revolution !", publié sur Global Politics and Economics le 9 septembre 2023. Il traite de la "Grande Permutation" des siècles annoncée par Nostradamus (1503 - 1566) !

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Dans ce nouvel article d'"Histoire uchronique", nous allons faire de notables parallèles et allers-retours entre la France de Louis XVI (1754 - 1793 ?), celle de son lointain ancêtre Louis VI (1081 - 1137), et la nôtre, sans oublier la référence au "Grand Siècle" de Louis XIV (1638 - 1715) !

Nous allons établir des liens que vous ne faites probablement jamais entre certains personnages ou certains événements. Et ils pourraient être fort différents de ce que vous pensiez !

Notre présente période manque cruellement d'audace et de panache. Dès lors, vous pourriez être étonné par ce que vous allez découvrir...ou redécouvrir avec une vision rafraîchie !

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Depuis 1793, la France n'a jamais été capable de retrouver le passé glorieux du "Grand Siècle". Et elle a perdu une énorme part de son pouvoir et de ses possessions dans le monde entier, qui ne sera jamais recouvrée. Alors que la France était considérée comme la Première Puissance d'Europe, si pas du monde à l'époque de Louis XIV, personne ne sait exactement si elle est toujours 7ème Puissance actuellement.  A cette époque, le Royaume de France et de Navarre était une Puissance Géopolitique impressionnante s'étendant à la Grande Louisiane, au Canada, à l'Inde, et à l'Afrique de l'Ouest entre autres : elle était la bienvenue, et pas l'opposé. Comparé au temps de Louis XIV, notre pays est l'ombre de lui-même : par exemple, à son époque la "Shrinkflation" n'aurait pas été possible à cause de la punition du pilori ! Les temps présents sont peu sûrs, et il est même dangereux d'aller à l'école maintenant. Bien sûr, ils ne sont pas aussi dangereux qu'en 1793, mais l'intolérance politique ou même l'intolérance ordinaire de la vie de tous les jours ne sont pas du tout de bons présages ! L'actuelle tentative de réhabilitation  de Maximilien de Robespierre par certains est la marque renouvelée de cette période trompeuse. Comment un meurtrier de masse qui a inspiré les pires totalitarismes dans le monde pourrait-il être un héros de la liberté ? Comment pourrait-il être un espoir pour le Peuple, pour plus d'équité et de solidarité ? Il est impossible de prétendre réellement défendre les droits de l'homme, et de supporter en même temps la mémoire de Robespierre (1758 - 1794). La France en a marre de ces gens incohérents et égoïstes qui la font souffrir, dans leur recherche désespérée du pouvoir dictatorial sans réel côté dans l'hémicycle. Ajoutons que Robespierre lui-même était complètement incohérent et inconsistant : ne défendait-il pas l'abolition de la peine de mort en tant que député en 1789 ? De même, il proclamait combattre l'esclavage, mais quand il eût l'opportunité de tirer profit de la Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne en 1791 incluant son abolition, d'Olympe de Gouges (1748 - 1793), il la rejeta avec dédain. Comme elle avait été approuvée par le Roi Louis XVI et la Reine Marie-Antoinette, il ne voulait certainement pas que ces derniers redeviennent populaires !

L'époque de Louis XVI juste avant la Révolution, fut marquée de façon non dite par la réforme de l'impôt du Vingtième (un impôt sur le revenu et sur les actifs détenus de 5%, quel que soit l'Ordre considéré), qui ne fut pas restaurée assez rapidement par le Roi. L'idée était de remettre en vigueur cet impôt créé par Louis XV le Bien Aimé (1710 - 1774), qui avait été supprimé en 1763. C'était une bonne réforme, tout le monde devenant à nouveau égal devant l'impôt, et le riche payant plus que le pauvre. Il fut lentement réadopté en 1787 avec la suppression de toutes les exemptions, mais trop tardivement pour sauver le Trésor Royal. Son ancêtre Louis VI qui avait été capable de mettre en prison un évêque à Lille pour ne pas avoir payé son dû entre autres problèmes, jusqu'à ce qu'il demande son pardon, n'aurait pas hésité quant à lui : il aurait certainement fait passer sa réforme fiscale à la "façon Kiévaine" sans attendre. Avec lui, tout le monde aurait payé son dû, et la Révolution ne se serait pas produite ! Il est vrai qu'au début, la Révolution Française était porteuse d'espoir et d'enthousiasme pour beaucoup de gens. Car il y avait en effet des abus, pas du Roi, mais de la haute noblesse, du haut clergé...et également de la haute bourgeoisie. Ces derniers venaient en réalité des trois Ordres, Tiers Etat inclus concernant la haute bourgeoisie. Pour cette dernière, cet aspect des choses est toujours négligé. A titre de rappel, la bourgeoisie se développa hautement sous les deux règnes de Louis VI le Gros ou l'Eveillé : d'abord en tant que Roi associé (Rex designatus) durant le règne de son père Philippe Ier (1052 - 1108), qui fut excommunié à plusieurs reprises par le Pape, et pendant son règne personnel (1108 - 1137). Philippe Ier avait été dénommé de cette façon originale pour l'époque, par sa mère la Reine Anne de Kiev (entre 1024 et 1036 à Kiev - 1089 à Novgorod très probablement), en l'honneur de son ancêtre Philippe II de Macédoine (381 av. J.-C - 336 av. J.-C.), père d'Alexandre le Grand (356 av. J.-C. - 323 av. J.-C.). En effet, Anne de Kiev était devenue l'épouse d'Henri Ier de France (1008 - 1060) !  


Historiquement, la création  des "bourgs", et donc de la bourgeoisie, fut encouragée dans le Royaume de France en suivant le modèle Kiévain, c'est-à-dire avec l'incroyable développement du Communalisme. Les villes nouvelles ("Novgorod" en Ukrainien et en Russe) se mettaient à éclore. Les Bourgeois étaient administrés par eux-mêmes et ne dépendaient plus de leur proche seigneur, mais directement du Roi. Et c'était la même chose pour les Serfs Royaux qui bénéficiaient d'écoles gratuites créées par la Reine Anne de Kiev dans la région parisienne - comme pour ses moujiks : ils étaient à demi libres, avaient des droits et pouvaient même devenir Maire...ou Premier Ministre comme l'ami d'enfance du Roi, l'abbé de Saint Denis, Suger (1081 - 1151). Louis VI a toujours choisi des personnes compétentes pour administrer le Royaume. Et si la France a encore un peu plus de 35 000 communes aujourd'hui, c'est justement dû à Louis VI, qui était le fier petit-fils de la belle et énergique Anne de Kiev. En aparté, Louis VI admirait beaucoup sa grand-mère. Un jour, il trouva même un plan d'attaque de château-fort qu'elle avait dessiné, dans son missel. Il l'utilisa pour changer ses méthodes d'attaque, avec des sapeurs (en faisant des tunnels par dessous, comme elle), et depuis lors il fut toujours victorieux des seigneurs brigands de l'Ile de France et d'aillleurs ! L'ère renovée initiée par Louis VI, qui aurait plutôt dû étre appelé le Grand (avec ses 1,86 m, comme Louis XVI), fut marquée par le triomphe du Gothique dans un royaume pacifié, plus riche et prospère que jamais ! Louis VI est le premier Roi qui s'intitula lui-même "Roi de la France et non plus des Francs", en créant de cette façon la "Nation Françoise" (la Nation Française). De même, c'est lui qui fit de Paris la capitale définitive de la France !

Sautons maintenant à l'époque de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen du 26 août 1789 : elle apparaît bien en retrait par rapport à la Déclaration Américaine du 4 juillet 1776 ! Cette dernière considère en effet la liberté comme un droit naturel et imprescriptible, alors que l'autre ne le mentionne même pas. C'est surtout un rappel de droits déjà existants pour la plupart. Ainsi même son article 1 proclamant la liberté et l'égalité pour tous les hommes, mais pas les femmes, souligne après le point virgule que "les différences ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune". Après tout, l'un de ses principaux concepteurs, Armand de Vignerot du Plessis-Richelieu (1761 - 1800), se souvenait qu'il était Duc d'Aiguillon, et pas un manant ! Ajoutons, que lorsqu'il  avait aboli les privilèges dans la nuit du 4 août 1789, le même Duc l'avait fait sous la condition que les paysans rachèteraient leur liberté et les droits féodaux à leur seigneur : cette astuce juridique - qui aida les seigneurs à payer leurs lourdes dettes de jeu en particulier  de façon inavouée -, dura jusqu'en 1793, et elle demeure ignorée de la plupart des citoyens aujourd'hui. De plus, la Déclaration des droits de 1789 ne prévoyait aucun droit au bonheur, ce qui impliquerait qu'il était inatteignable de toute façon dans la nouvelle France. Et ces droits maintenant écrits (par substitution aux droits coutumiers) allaient être très rapidement violés et foulés aux pieds par les Révolutionnaires, l'un après l'autre. Ils devinrent complètement théoriques et donc fictifs. De plus, les Révolutionnaires dérobèrent presqu'immédiatement au Peuple sa souveraineté nouvellement acquise (qui provenait de celle du Roi) sans aucun état d'âme, pour leurs intérêts personnels en tant que nouvelle classe dirigeante !


La France est désespérément à la recherche de son sauveur, mais il se peut qu'il ne vienne jamais. Il n'y a plus de Baron Jean de Batz (1754 - 1822) de nos jours. Personne ne peut plus fourvoyer les Destructeurs de racines, comme il se pourrait qu'il l'ait fait avec les sosies de Louis XVI et de Marie-Antoinette (1755 - 1793 ou 1834 ?) ! Il opéra dans les deux cas avec "un système à double détente" : en premier, sauver lui-même la Personne Royale avec un sosie, et en second sauver le sosie avec des comparses. Ainsi, le 21 janvier 1793 au matin, il y eût non pas une mais deux opérations de sauvetage : la première le long du 52 rue Beauregard (dans le quartier Bonne Nouvelle), et la seconde un peu avant que la berline royale n'arrive à la Place de la Révolution (maintenant la Place de la Concorde) pour le moine Belge, alors qu'elle passait à côté de l'Eglise de la Madeleine, toujours à Paris. Et pour la Reine, le sauvetage se produisit la nuit du 30 août 1793 à la sortie de la Prison de la Conciergerie à Paris. Il fut suivi par la tentative de sauvetage de son sosie, Cornélia de Galéan, par le Chevalier de Rougeville (re-nommé "de Maison Rouge" par Alexandre Dumas à sa demande), durant la nuit du 2 au 3 septembre 1793 - "Conspiration de l'Oeillet". Dans les deux cas, c'est la seconde opération qui a échoué : donc, aucun des sosies ne put être effectivement sauvé !

Jean de Batz rendait Robespierre terriblement nerveux. Par exemple cela prit presque deux mois tout de même pour que les Révolutionnaires établissent finalement le certificat de décès du Roi (le 18 mars 1793, enfin), parce qu'il y avait un doute caché sur l'identité de l'homme réellement exécuté le 21 janvier 1793. En pratique aussi bien que médicalement, son corps qui avait été jeté à la fosse commune ne pouvait pas être identifié avec une certitude absolue. Donc, il fut décidé qu'il était mort "idéologiquement et symboliquement", au moins. Robespierre ne put jamais attraper le Baron sauveur, qui se comportait comme un personnage de théâtre. A chaque fois, il était capable de s'échapper de justesse en se déguisant. Il était trop rusé pour lui. C'est pourquoi Robespierre attaqua son point faible, sa petite amie bien aimée, Marie-Madeleine de Grandmaison (1761 - 1794), une chanteuse lyrique et une actrice de la Comédie Italienne de Paris. Comme elle refusait de parler et de dire où se trouvait "Jean", son petit ami bien aimé, il ordonna avec cruauté de la priver de toute nourriture jusqu'à son exécution - qui eut lieu seulement quelque temps plus tard. Elle fut finalement guillotinée avec plus de cinquante autres malheureuses victimes (en chemises rouges pour marquer l'infamie), le 17 juin 1794. Le Baron qui assistait à la scène dans le quartier parisien de Picpus, en fut profondément bouleversé ; et il put difficilement retenir ses larmes et sa colère, car il était follement amoureux d'elle et voulait l'épouser. Peu de temps après, quand le gendarme Merda (1773 - 1812) explosa d'un coup de feu sa mâchoire sans nécessité, Maximilien de Robespierre réalisa soudainement que lui-même était maintenant privé de toute possibilité de manger. Et il sut intimement d'où ça provenait ! Cela avait pris seulement quarante jours au Baron de Batz pour provoquer avec d'autres la chute du sanglant Robespierre, le 9 Thermidor An II (27 juillet 1794), et pour rendre sa "haute justice". Robespierre fut guillotiné le lendemain, avec des comparses Jacobins, et "Marie" fut vengée face à l'Histoire comme beaucoup d'autres !




Nous conclurons de façon inattendue avec la "Lettre au Peuple Français" du 20 juin 1786 du Comte de Cagliostro, réfugié en Angleterre après la célèbre "Affaire du collier de la Reine" :                                                                                                                                 "Quelqu'un me demandait si je retournerais en France, dans le cas où les défenses qui m'en écartent seraient levées. Assurément, ai-je répondu, pourvu que La Bastille soit devenue une promenade publique...Il est digne de vos parlements de travailler à cette heureuse révolution...Oui mon ami, je l'annonce, il règnera sur vous un prince qui mettra sa gloire à l'abolition des lettres de cachet, à la convocation de vos Etats généraux, et surtout au rétablissement de la vraie religion."

Etrangement, en tant que Grand-Maître (ou "Grand Cophte") de la Franc-Maçonnerie Egyptienne qu'il créa aux alentours de 1780 - avec de la mixité, pour la première fois -, il apparaissait clairement comme un Monarchiste convaincu, sur le modèle britannique ! Sa référence à La Bastille est liée au fait qu'il fut un temps emprisonné là-bas en 1785 et au début de 1786, comme son élève en Alchimie, le Cardinal Louis-René de Rohan (1734 - 1803) : ils étaient impliqués dans "l'Affaire du collier de la Reine" ! De nos jours, La Bastille est réellement devenue une promenade publique. Et paradoxalement, le Prince qui convoqua les Etats généraux pour le 5 Mai 1789, et voulut restaurer la vraie religion avec des religieux réellement dévoués à Dieu fut...Louis XVI. Le Cardinal de Rohan, aussi Evêque de Strasbourg et grand Chapelain de France, dans cette acception n'était pas vraiment un homme religieux : il s'intéressait à la gent féminine, et le Roi savait qu'il avait déjà essayé de se mettre en avant auprès de sa femme, Marie-Antoinette, lorsqu'elle n'était encore qu'une jeune archiduchesse à Vienne. Et le fait qu'il se soit fait berner par un premier sosie de la Reine, nommé Oliva (Nicole en fait), dans "L'Affaire du collier de la Reine", montrait juste qu'il était un homme tout à fait insistant !

Rappelons que le Grand Cophte Cagliostro (de son vrai nom Joseph Balsamo ou Baume en français, 1743 - 1795) avait été un séminariste déçu en Italie...où il mourut finalement après de multiples pérégrinations. Il revint imprudemment dans son pays avec sa femme, mais fut arrêté par les autorités pontificales en 1789 sous l'accusation de pratique de la franc-maçonnerie. Initialement emprisonné à Rome (Castel San Angelo), il aurait terminé emmuré vivant dans sa nouvelle cellule de la Forteresse de San Leo (Italie Centrale)...comme le vrai faux Louis XVII le fut à la Prison du Temple de Paris après le 19 janvier 1794 ! Mais il y a une autre version de sa mort : son attachement à une Royauté équilibrée pour la France n'était pas du goût de tout le monde. Et il aurait été étranglé par un soldat français de l'An III, durant l'invasion française des Etats du Pape, le 26 août 1795. Donc, aucun révolutionnaire ne le sauva !

De nos jours, un certain nombre de personnes voudraient recommencer l'année fatidique de 1793 : elles devraient être prudentes avec leurs souhaits stupides, car elles pourraient bien se nuire à elles-mêmes en réalité, tout comme Robespierre le Dictateur ! Il n'était ni le "Nouveau Messie" ni le "Pape" de l'Etre Suprême. Seulement chercher à plaire à Catherine Théot (1716 - 1794), la bizarre "Mère de Dieu" fut sans espoir. Et il le découvrit très rapidement après les festivités qu'il avait pompeusement organisées le 8 juin 1794 au Champ de Mars à Paris. La Grande Terreur initiée en 1793 se termina en Thermidor 1794 en terrorisant les terroristes Jacobins eux-mêmes, qui avaient imprudemment supporté Robespierre ! De nos jours, l'ex-classe dirigeante de 1789 et de 1793 naguère dominante, et ses rejetons sont inquiets concernant leur devenir : une bonne partie d'entre eux s'abritent ou donnent le change dans des mouvements qui semblent opposés à leur intérêts de classe...ou même pire, parmi les "black blocks".  C'est leur façon à eux d'exorciser leur peur du déclassement : à partir de là, ils pensent que la Révolution est encore la leur, même s'ils n'arrivent pas à la retrouver !

La Révolution Française a été réécrite de nombreuses fois, pour lui donner un sens qu'elle n'a peut-être jamais eu. Mais il est vrai que ceci a aidé à construire toute une mythologie, pourtant pas totalement séduisante. Et de plus en plus de gens, spécialement parmi la jeune génération, pensent "tant de sang versé inutilement de part et d'autre pour ça !" Aujourd'hui, les Chouans sont respectés pour leur foi, leur courage pour avoir résisté à l'oppression, et leur panache. Peut-être cela explique-t-il pourquoi les gens recherchent leur avenir...dans le passé ? Quand les individus doivent lutter pour vivre ou même survivre, ils pensent plus avec leurs intestins qu'avec leur cerveau. Ils ont besoin d'une nourriture pas trop chère ou de biens abordables (avec des prix non enflés par des profiteurs en toute impunité), d'un minimum de bien-être et de respect, et d'avoir la possibilité de prendre de vraies vacances. Bien sûr, avoir une grande espérance pour le futur est aussi très important. Aussi ne se sentent-ils pas rassurés quand tout s'effondre autour d'eux. La pensée magique de toujours répéter les mêmes mots pour les attraper (les slogans), ne remplacera jamais la réalité de la vie de tous les jours. N'oubliez pas que les Français, sous le règne nouveau d'une écologie capitaliste presque dominante, craignent plus que jamais que le Ciel leur tombe sur la tête, comme les Gaulois !

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