Thursday, March 31, 2011

Le triple V de 2011-2012 : au moins trois sens inoubliables !

de Jean-Jacques COURTEY, Docteur en Géographie Economique !

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La lettre V est souvent associée à la Victoire, au Vatican, ou à la Valeur (la "Virtus" romaine), mais elle peut également signifier toute autre chose. A travers deux films importants et un symbole antique, nous allons chercher à illustrer notre propos, en commençant par la série "V", récemment reprise sous le même nom, par une suite au succès plus mitigé. Que le film télévisé "V" diffusé initialement sur la chaîne américaine NBC (1983) avec ses "Visiteurs" reptiliens ayant pris apparence humaine afin de dominer la Terre, soit ou non une fable de l'élite se mettant en scène à Hollywood (USA), pour se distinguer artificiellement des autres, importe peu. Il est clair qu'il fait écho aux mythes antiques : car elle éprouverait le besoin de se rattacher de façon pas si évidente à Sumer, à Babylone et au souverain antique Nemrod ("l'abeille qui a vaincu le léopard"). Cette élite se caractériserait par une absence quasi-totale de croyance en Dieu, même si souvent son activité est curieusement religieuse, voire superstitieuse. Car elle penserait être à l'origine de la "manipulation divine" visant à soumettre les Humains par la croyance "infondée" en un Dieu que l'on ne voit jamais. C'est possible sur la forme (les rituels, la liturgie, ...), mais résolument faux sur le fond : Dieu n'a nul besoin de mise en scène, ni d'approbation élitiste ou non d'ailleurs pour préexister, et montrer sa puissance incroyable quand il le souhaite. En tout cas, c'est de là et de son "sang froid" - au sens propre du terme - que cette élite tirerait sa pseudo-insensibilité à la souffrance (celle des autres, pas la sienne), sa manie de dominer par le traumatisme (qu'elle a elle-même ressenti dans son éducation trop dure), et de récompenser plutôt les personnes ignobles (en ayant souvent motif à le regretter presqu'aussitôt). Cette version semble ignorer que les grands reptiliens de l'Antiquité avaient le sang plutôt chaud et non froid, d'après les dernières découvertes, et que de plus même un reptile peut avoir peur. Nous avons personnellement testé ce caractère farouche et donc émotif sur une vipère et un grand python, dans notre prime jeunesse. En outre, contrairement à l'homme, un serpent peut copuler jusqu'à vingt-quatre heures d'affilée, ce qui indiquerait à l'opposé un besoin viscéral de contact, et un sentimentalisme beaucoup plus grand que celui d'un être humain en réalité. Si on rajoute à cela le sens du rythme et de la musique, on a ici un animal moins antipathique que prévu. D'ailleurs, selon les "Fioretti" (littéralement "les petites fleurs"), Saint François d'Assise (vers 1182 -1226) évangélisait aussi bien les oiseaux, que les petits lapins, ou même les serpents qui l'écoutaient avec une attention soutenue et presque "mignonne" dans la campagne italienne environnante. Il y a donc là un malentendu qu'il faut lever sur ces animaux sensibles à l'assertivité douce, et à la véritable bonté qui est appréciée tout au contraire.


Pour ce qui est de notre deuxième exemple portant sur la lettre V, il s'agit du film "V pour Vendetta" de James Mac Teigue (réalisé en 2005 et sorti en 2006), avec Hugo Weaving (V) et Nathalie Portman (Evey). Il se passe à seulement quelques années de 2011, dans un Angleterre dominatrice et dictatoriale ayant recouvré ses colonies américaines autrefois insurgées. La genèse de ce nouveau régime fasciste remonte en effet à 2015 avec deux attentats bactériologiques sur le sol britannique, en fait fomentés par le futur haut chancelier Suttler, et absolument pas par des terroristes au contraire de la version officielle. Et à cette époque proche, l'Afrique, l'Europe et l'Asie sont également dans un état dévasté (ce qui ferait écho à la grande crainte de 2012, l'année fatidique). Il s'ensuit alors deux décennies de privation de liberté sous le faux prétexte de la sécurité à tout prix, avec un système paranoïaque de télésurveillance angoissée. Il s'agit là d'une adaptation cinématographique en coproduction (Allemagne-USA-Royaume-Uni) d'une bande dessinée d'Alan Moore et de David LLoyd, datant de 1989. C'est à la suite d'une crise financière de grande ampleur, de la guerre civile aux USA, et dans une ambiance post-nucléaire et de dérèglement climatique du reste du monde, que le haut Chancelier Suttler peut diriger une Angleterre soumise d'une main de fer, "façon" Edouard Ier Le Sec (1239-1307). Il termine d'ailleurs toujours ses phrases par le leitmotiv : "L'Angleterre prévaut !" Le lien prédominant de V avec Guy Fawkes (1570-1606), l'illustre protagoniste de la "nuit des poudres" du 5 novembre 1605, semble avoir échappé à certains critiques cinématographiques, alors que le visage masqué de V et ses paroles le rappellent constamment. Cette "contre-utopie" a pour thème la liberté vengée et recouvrée, en réussissant là où Fawkes avait échoué dans sa tentative de faire exploser le Parlement de Westminster à Londres. Il rappelle comme une antienne à la télévision dont il a réussi à prendre le contrôle pour l'occasion, la nécessaire tolérance, pas uniquement religieuse d'ailleurs, dans un état de droit, respectueux de ses sujets : on dirait ses citoyens, pour une république. Car lui provoque vraiment la chute et le décès de Suttler, accompagnant crescendo la mort par "les dagues virevoltantes" de tous les membres de son conseil - sauf le chef de la police d'origine irlandaise, qui laissera in fine s'accomplir le projet de V, dans son apothéose.



Le dernier V symbolise quant à lui le film de notre vie à tous, oligarchie si fragilement humaine comprise : c'est celui de la Vie. Par exemple, tout le monde sait qu'il y a un énorme problème de lits d'hôpitaux en France. Il n'y a encore guère de temps, il y en avait suffisamment pour faire face à une grande catastrophe qu'elle soit naturelle ou autre, comme un accident nucléaire majeur. Mais ce n'est plus le cas aujourd'hui, car une gestion politique "étriquée" et irréaliste, voire irresponsable et aberrante est passée par là (100 000 lits supprimés à ce jour). On nous parle constamment de sécurité, mais on se montre incapable de penser à l'assurer dans ce cas désormais moins improbable. La catastrophe nucléaire, toujours en cours d'ailleurs, de Fukushima- Daï-Ichi (Japon), est là pour le rappeler. De toute façon, il ne paraît pas évident de stabiliser le Mox (mélange métallique composé de 93% d'uranium et de 7% de plutonium) utilisé à Fukushima. La France dont il provient a ainsi proposé ses services, dont des robots pour effectuer les travaux urgents de refroidissement ou de colmatage, dans la partie de la centrale qui fuit encore vers l'Océan Pacifique tout proche. Mais il semblerait bien que dans ce cas, l'oxyde de bore ne puisse être utilisé avec sûreté pour empêcher une fusion totale du combustible hybride, très instable par rapport à de l'uranium qui aurait été pur. Il est donc temps pour nous non pas seulement de revendiquer nos droits, mais de reprendre notre souveraineté, si galvaudée, en n'attendant pas 2012. Car tous nous devons nous prendre en main nous-mêmes si nous voulons survivre à ce qui pourrait advenir. Puisqu'un succédané de droit de pétition - beaucoup plus limité que celui du Royaume-Uni - a été introduit récemment dans notre constitution, nous citoyens devrions l'utiliser sans hésiter dès maintenant. En effet, notre survie ne doit pas être mélangée avec les échéances politiques à l'horizon 2012, ce serait une erreur. La question de la réduction progressive, mais ferme et nécessaire, de la part du nucléaire dans la production électrique française, accompagnée d'une fermeture rapide des centrales jugées peu fiables, ainsi que l'interdiction de l'exportation et de l'utilisation du Mox, doivent être d'actualité désormais. En attendant, les barres de Mox utilisées dans les réacteurs de certaines centrales françaises doivent, à notre sens, absolument être remplacées par des barres normales d'uranium pur, même si cela coûte plus cher. La sécurité des populations (française et avoisinantes, dans un sens très large), est à ce prix. Au Japon, le nucléaire ne représente que 30% de l'énergie électrique produite, et pourtant on voit le désastre que cela provoque, et ce que cela va coûter à ce malheureux pays (de 4 à 5% de son PIB, y compris le tremblement de terre du 11 mars dernier et le tsunami qui s'en est suivi). Quant à nous, nous devons être informés sérieusement des dernières mesures de la contamination par le nuage radioactif des 23 et 24 mars derniers. Car comme nous le pensions la pluie a disséminé sur le territoire cette radioactivité. Or, on ne nous parle à ce sujet que de l'iode 131, qui disparaît le plus vite (dans les huit à dix jours), et plus du Césium 137 de ce nuage - à la période très longue de plus d'une génération. Notre régime alimentaire salé va devoir, par prudence, être remplacé par un régime absorbant et oxydo-réducteur sucré. Libre à chacun de faire autrement.



La déconnexion des "politiques" de la réalité concrète est déjà beaucoup trop grande. Ils (ou elles) ne pensent qu'à travers des sondages plus ou moins vrais, sur des questions que nous les citoyens, nous poserions de façon plus ou moins fausse. Cela vise toujours à détourner notre attention, et à faire passer des projets de loi plus ou moins "fumeux", masquant fort mal le poids trop grand d'une oligarchie à l'arrogance égoïste et apeurée. Dans ces jeux de "vilain (e) s", où l'on fait passer des vessies pour des lanternes, même le Christ, sa mère Marie, ou sa femme Marie-Madeleine se feraient rejeter avec mépris, s'ils ne prenaient soudainement voix au chapitre. Car ils représentent une espérance renouvelée, considérée à tort comme embarrassante, et un vrai remède à la peur. On a laissé s'ériger trop rapidement, et sans réfléchir aux conséquences, l'impraticable et inhumain dogme politique de la "tolérance zéro", qui ne résoud rien et crée encore plus de problèmes insolubles. En réalité, vu les risques que l'on nous fait courir par irresponsabilité et défaut d'information, ce serait plutôt à nous d'appliquer dès à présent la "tolérance zéro", par Vigilance (notre V de conclusion) ! Et il n'est pas trop tard pour prendre conscience de notre vrai pouvoir souverain !

Tuesday, March 22, 2011

"Pathocraties" et irradiations : le contre-flux "dzéta" et le vrai chaos psychotronique en période fatidique !

par Jean-Jacques COURTEY, Docteur en Géographie Economique

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Nous vivons tous une ère de stupidité néfaste, où tout le monde veut contrôler tout le monde (et pas seulement les Etats). Les moyens employés sont divers, des plus anciens au plus modernes. Pour les plus récents, ils mettent en oeuvre des techniques de "psychologie sociale" certes, mais aussi et surtout des appareils de haute technologie (électroniques donc) pas forcément connus du grand public. Pour ces derniers, on parle de "psychotronique".
Ils s'appuient sur la nouvelle science de la "ponérologie politique" (science sur la nature du mal en politique). Il s'agit au départ d'un constat dressé par le psychiatre polonais Andrzej Lobaczewski dans le cadre d'une étude interdisciplinaire sur les causes d'injustice sociale dans l'état policier. Il en conclut que souvent, nous sommes gouvernés par des psychopathes dangereux, qu'il dénomme "caractéropathes" (2006), d'où la notion dérivée de "pathocraties". Et en fait, il arrive bien que les loups se mangent entre eux.

Le lien avec la psychotronique se fait lorsque les Etats par exemple veulent intervenir dans un cadre sociologique de contrôle des masses, mais aussi dans l'aire psychologique de suggestion de la pensée individuelle. Certains appareils prototypes permettraient de modifier la pensée d'un individu en la remplaçant par une autre, comme un "copier-coller".
Les atteintes aux droits individuels fondamentaux qui en résultent sont jugées si hâtivement mineures au départ, qu'elles vont proliférer. Les faux prétextes de sécurité invoqués ne peuvent convaincre que les ignares et les naïfs, mais il est vrai qu'il en y en a beaucoup. L'écrivain d'anticipation George Orwell (1903-1950) avec son fameux "1984" est largement "has been" désormais ! Tout cela semble montrer que les êtres humains n'ont plus guère d'avenir sur Terre. D'ailleurs, ils sont moins considérés que les machines ou les robots, qui vont à terme les remplacer, y compris les initiateurs de ce changement toujours évitable. Et parfois même, on fait davantage attention à une machine coûteuse, pour ne pas l'endommager quant à elle.

La psychotronique est assez simple : elle fait intervenir des champs magnétiques à haute - ou basse - fréquence. Une simple armoire informatique peut jouer ce rôle à notre insu. Il faut savoir que contrairement à une idée reçue, les basses fréquences (ondes courtes) ne sont pas les moins nocives. Elles sont captées sans que les individus s'en rendent compte par leur cerveau bien sûr...mais également par leur santé (et là il est souvent trop tard de le réaliser).
Des fréquences dangereuses -voire létales, pour le coeur par exemple-, ont même déjà été identifiées (entre 11 et 15 hertz). Au niveau de l'individu, un vif et soudain pincement au coeur, ou une fatigue anormale sont autant de signaux d'alarme à ne pas négliger. Dans un rayon d'action qui est nettement supérieur à ce que les gens imaginent, ces micro-ondes ou ondes courtes peuvent se comporter comme des "irradiations localisées également banalisées". On n'y fait même pas attention. Mais il est vrai qu'elles ne se déplacent pas dans un nuage de Césium 137, comme celui qui vient de Fukushima (nord-est du Japon), et passe demain et après-demain au-dessus de la France métropolitaine. De toute façon, il a été décidé "officiellement" qu'il n'était pas nocif pour la santé, alors qu'il aura accompli un incroyable périple de 15 000 kilomètres, sans parvenir à se dissiper sur une aussi longue distance. Il est également notable que 70% des personnes interrogées croient qu'on leur raconte des "bobards" comme en 1986 avec Tchernobyl (Ukraine).

La période nocive de ce "nappage" radioactif est de 25 ans, voire de 27, par delà les affirmations péremptoires des "experts". Et on ne risque guère de détecter quelque chose au sol les 23 et 24 mars 2011, puisque le nuage est dans la haute atmosphère, ce qui ne sous-entend nullement qu'il n'est pas dangereux. Comme dans la région de Fukushima, on ne pourra y voir clair qu'à partir de vendredi, et au fur et à mesure qu'il pleuvra. Paris singulièrement, dont la radioactivité ambiante "avant nuage" (rejets de strontium des hôpitaux, et autres) est déjà dans les limites de l'acceptable, mais également la Seine et Marne, pourraient être notablement concernées. Il ne faut pas oublier que la radioactivité fonctionne par addition et non par soustraction. C'est globalement qu'il faut la considérer, pour ne pas devenir des "Atomiques".
Dans les deux cas, il faut savoir que le cerveau ainsi que la glande thyroïde sont les premiers à la capter. La glande thyroïde retiendra la radioactivité éventuelle dans le corps ; elle fixera en quelque sorte l'irradiation dans les organes, ce qui pourra engendrer des cancers notamment.
Le cerveau quant à lui (qui à certains égards n'est qu'une sorte d'électro-aimant) n'est protégé par rien en fait.

Au sens de l'intervention humaine, c'est tout à fait vrai. Mais les humains (ou humaines) ne contrôlent ni ne connaissent pas tout. Et c'est sans doute mieux ainsi. Ils doivent rester modestes, et ne pas jouer à se prendre pour "Dieu".
Car, il existe un contre-flux dit "dzéta" dont ils ignorent l'existence et l'origine (qu'elle soit divine ou assimilée), qui à partir d'un certain seuil se déclenche automatiquement. On peut parler du seuil "tau"où tout s'inverse subitement de façon impromptue et inexorable, un peu à la façon des pôles envisagée pour l'année prochaine.
Le contre-flux "dzéta" engendre un chaos plus ou moins grand suivant l'intensité des ondes émises. De plus, il est complètement incontrôlable par les humains, même si sa manifestation semble également psychotronique.
Comme il y a une inversion totale de flux, ces émissions ne se perdent pas, mais se propagent à tout ce qui de près ou de loin ressemble à un circuit - monde du vivant compris -, en produisant, entre autres, un vrai chaos pour un temps, suivi de réinitialisation.
L'un des aspects positifs inattendus du contre-flux "dzéta" est de permettre d'entendre sans les oreilles, par son action sur le cortex auditif, l'oreille interne et le huitième nerf crânien.


L'année 2011 semble orientée vers l'expansion des révolutions et des guerres civiles, et malheureusement toujours un cortège de catastrophes naturelles (Australie, Nouvelle-Zélande, Japon, France...), ainsi qu'une petite succession d'événements imprévisibles à portée historique. Mais, c'est également une année qui marque la fin probable de la courte reprise économique mondiale avec la fin du "robinet nippon" pour les bons du trésor US. Certaines organisations de poids mondial envisagent déjà un curieux épilogue à l'histoire du "roi dollar" : il pourrait se fondre dans "l'améro", future monnaie commune aux USA, au Canada et au Mexique - le successeur du pays maya avec lequel la France a des rapports si amers. Il ne manque plus à cette année que "Roswell 2" et le retour de "Jarod" pour acquérir une dimension "choc" inégalée.

Si les grandes catastrophes de 2012 auront sans doute bien lieu, elles le devront pour beaucoup à l'inépuisable bêtise humaine mêlée de méchanceté crasse - tout à fait rédhibitoire en ces temps fatidiques. Elles sont en effet aussi évitables que des missiles téléguidés ayant "logé" leurs différentes cibles en Libye, militaires ou parfois malencontreusement civiles. Quant à la sagesse guidant vers les rives de l'espérance, autant l'attendre d'une perruche et même plus d'une chouette ! Car finalement, les seuls à pouvoir éviter les catastrophes, du moins en partie, seront les oiseaux parce qu'ils ont des ailes ! Le monde n'appartient déjà plus aux mesquins ou aux mesquines, toujours si pressés... d'arriver nulle part !

Tuesday, March 8, 2011

"Némésis" ou le retour en fanfare de la compagne du Soleil !

par Jean-Jacques COURTEY, Docteur en Géographie Economique

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"Némésis" (qui symbolise la justice et la vengeance divines) est le nom donné par la NASA à la "naine brune" - et probablement pas rouge - qui se trouve à proximité du Soleil, mais n'est pas visible. Une minorité d'astronomes seulement préfèrent appeler celle qui paraît bien être une planète dont la masse est plusieurs fois supérieure à celle de Jupiter, "Tyché" (la bonne soeur), pour lui donner une connotation moins inquiétante et plus positive.
Quoi qu'il en soit, elle émettrait un rayon verdâtre, et comme le Soleil son compagnon, du plasma, dénommé dans son cas "thermatrion". La conjugaison de ce rayon vert et du "thermatrion" serait particulièrement nocive pour la vie. En outre, "Némésis" perturbe semble-t-il le "Nuage d'Oort" où sont retenues un grand nombre de comètes, qui peuvent alors le quitter librement à un train vertigineux pour aller s'abîmer partout dans notre système solaire.
Cependant, les astronomes croient que les énergies et le rayonnement provenant de "Némésis" seraient incapables d'atteindre la Terre (?), et que de toutes façons ils seraient tournés vers l'extérieur du système solaire, à la différence de ce qui se passe pour le Soleil.
Pour autant, nul ne sait s'il peut y avoir une inversion simultanée des flux du Soleil et de sa compagne. Ce pourrait être un début d'explication de la contradiction climatique actuelle : il fait plutôt froid, alors que le climat est censé se réchauffer, et que les glaces du Groenland et de l'Antarctique fondent à une vitesse accélérée. La dernière tempête solaire des 4 et 5 février derniers, était la plus importante enregistrée depuis 1989, mais bizarrement elle n'a pas vraiment perturbé les communications terrestres, à la différence de celle de 1989 justement qui avait touché de plein fouet le Canada. Or, on pense que cette tempête était plus puissante que la précédente.
Tout le monde a été surpris et rassuré. Mais faut-il s'en réjouir ? Car où est passée cette énergie solaire dans le cosmos, si ce n'est pas sur Terre ? Et y-aurait-il une inversion des flux en cours, vers l'extérieur du système solaire ?

Les Anciens Sumériens et les Assyriens connaissaient tout à fait l'existence de la compagne du Soleil, et l'on voit même d'anciennes représentations du ciel avec deux soleils (un grand et un plus petit) justement, ce qui étonne toujours. La stèle en grès de "Narâm Sin" de 2 mètres de haut (actuellement au Musée du Louvre à Paris), venant de Sippar et dénommée "le roi écrasant ses ennemis" est sans équivoque sur ce point. Elle a été datée de 2220 avant Jésus-Christ environ. La compagne du Soleil aurait ainsi été visible dans ce lointain passé !
De nos jours, la technologie moderne nous permettrait donc... avec retard de revenir à cette connaissance pourtant fort ancienne, et si peu cachée en fait.
Or, nul ne connaît réellement l'interaction exacte de "Némésis" avec le Soleil.
Il est vrai que son existence n'a été démontrée que par des équations mathématiques, du fait de la détection d'anomalies orbitales de Sedna (2006) par la NASA et CALTECH. Mais le nouveau dispositif américain d'observation de notre galaxie à champ large, WISE, devrait permettre prochainement (d'ici 2012 avec un peu de chance) de la photographier aux infra-rouges. WISE est l'acronyme de "Wide-field Infrared Survey Explorer".
Dans ce cas, l'histoire de la découverte (ou plutôt de la rédécouverte) de "Némésis", serait quelque peu similaire à ce qui se passa pour Neptune avec l'astronome français Le Verrier (1811-1877).
Le légendaire Enki (Ea), mais également Enoch (Enmeduranki de Sippar), utilisèrent avec profit le fantastique pouvoir d'inversion de la compagne du Soleil, ainsi d'ailleurs que Moïse ou plus près de nous, Jésus.
Si on peut douter que Moïse ait réellement écarté les eaux de la Mer Rouge, en disant les bras levés vers les cieux un "Primematum" un peu trop romain pour être vrai (en fait, il prononça plutôt deux mots égyptiens), on connaît également le fameux "Lève-toi et marche" de Jésus-Christ pour ressuciter les morts ou guérir les paralytiques. Mais les mots araméens "Talitha Khoum" qu'on lui attribue, signifient très précisément "Lève-toi petite agnelle", et visaient dans ce cas le fait d'avoir sauvé une fillette. Il disait plus généralement "Khoum" tout simplement, pour utiliser son pouvoir d'inversion.

Quand Alexandre le Grand (359-323 av. J.-C.) interrompit momentanément son expansion eurasiatique (printemps 332 -printemps 331 av. J.-C.), c'est pour finalement venir au temple de Jupiter-Ammon à Siwa, en Libye. Il était situé dans cette oasis sur la colline d'Aghurmi. Et il s'y fit reconnaître comme digne Pharaon du grand empire d'Egypte en sa qualité de "fils" de Zeus, par l'Oracle de ce temple sacré. Ainsi, il ne négligea pas l'Afrique, dans sa perspective de domination du monde alors connu. Mais lui-même en dépassa les bornes, en en créant de nouvelles.
C'est également près de Siwa, que se joua le tournant de la Deuxième Guerre Mondiale, avec la défaite allemande d'Erwin Rommel (1891-1944), face à l'anglais Bernard Montgomery (1887-1976), durant l'été 1942.
Est-ce à dire que le "pouvoir d'inversion" fonctionne en ce moment même en Libye ? Qui sait, si le retour en fanfare de "Némésis" n'y est pas pour quelque chose !
Le dictateur libyen, Mouammar Kadhafi (né à Syrte en 1942), ne propose-t-il pas déjà avec un brin de provocation, un retrait "honorable" comportant des garanties pour lui et pour les siens, et contre le paiement d'une somme d'argent confortable ? Il remettrait alors le pouvoir au Congrès Général du Peuple (sorte d'équivalent libyen d'un parlement).
Il sait bien sûr que sa proposition en choque plus d'un, eu égard aux nombreuses victimes de son armée et de ses supporters. Mais cela montre que lui-même hésite vraiment sur la conduite à tenir, en dépit d'une contre-offensive de ses troupes restées fidèles mettant en difficulté les insurgés à Brega, Adjabiya, Ben Jawad, Misrata, et Ras-Tafnouf (pour le terminal pétrolier).
La mise en place d'une zone d'exclusion aérienne, proposée par la Ligue Arabe, et également par la France et le Royaume-Uni est sérieusement envisagée. Les USA pensent également quant à eux à larguer des armes, et ce qui est nécessaire aux rebelles pour pouvoir résister.
Le problème pour l'Europe du Sud ne réside pas uniquement dans la décomposition de cette société, et l'épilogue plus ou moins curieux et inattendu qui s'annonce. Car elle subit déjà l'énorme pression résultant de l'afflux de réfugiés libyens, qui ne sont pas 300 000, mais au minimum 1 million - pour une population totale de 5,5 millions d'habitants. Il y a là "une bombe humanitaire à fragmentation" en train d'exploser, et pas seulement sur les côtes italiennes de Lampedusa, en Sicile. Et de facto, la France, avec sa rive méditerranéenne, est directement concernée elle-aussi, ne nous y trompons pas.

Beaucoup de gens ont feint d'ignorer certaines paroles attibuées à Jésus, sans doute parce qu'elles sont très fortes et gênent pour cette raison :

"C'est pourquoi quiconque se déclarera publiquement pour moi, je me déclarerai aussi pour lui devant mon Père dans les cieux ;

"mais quiconque me reniera devant les hommes, je le renierai devant mon Père qui est dans les cieux.

"Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre, je ne suis pas venu apporter la paix mais l'épée." (Matthieu X-32,33,34)

Et il est évident qu'il parlait du glaive de la liberté ("il gladio", comme on dirait en Italie), qui s'oppose à la paix de ceux ou celles qui règnent par le diktat.

Se pourrait-il que "Némésis" porte en elle un message ambivalent, avec l'antique pouvoir d'inversion que lui accordaient les Grands Anciens ?
Que l'on y croit ou pas ne changera rien à l'affaire : nous serons tous et toutes très vite fixés sur nos rivages d'Occident, n'en doutons pas, car "Némésis" signifie en grec "le don à recevoir" !